L'attaque des bandits

Ten'nouheika Denkou

« Attention j'arrive, préparez vous à souffrir »

l'attaque des bandits

Alors que je dormais à poing fermé, je me réveilla en sursaut à cause d'un bruit.

Voix inconnue : AAAAHHHHH !!!! DES BANDITS !!! TOUS AUX ABRIS !!!

Je me leva en vitesse, encore la tête dans les nuages, ça on peux dire que c'est du réveil. Je me dépêcha de m'habiller, et pris la direction de la guilde, histoire d'aider les membres qui devaient déjà être en effervescence. En chemin, ce fut la première fois que je traversa Magnolia sans croiser personne, ils devaient tous être partis se cacher ou ils étaient tous malades, mais je pense plus qu'ils étaient aller se cacher.
Lorsque j'arriva à la guilde, je fût étonné par ce silence, il n'y avait personne. Ils étaient déjà partis se battre sans moi ? Les fourbes, ils auraient pu m'attendre quand même. Ils sont trop égoïstes pour ce qui est de la baston ...

Quelqu'un sortit des toilettes et m'entendit râler, il me demanda pourquoi je pestais.

Denkou : En colère, le visage rouge, les membres de cette guilde sont des égoïstes, partir se battre sans m'attendre, c'est pas juste...
Demax (enfin, je crois) :L'air surpris, mais de quoi tu parles, qui se bat ?
Denkou : Bah contre les bandits, toi non plus ils t'on rien dis, les traitres.
Demax : Mais tout le monde est en mission, il y a des bandits ?
Denkou : Mais oui !! Y faut qu'on y aille, faut protéger la ville !!
Demax : Mais t'es un mage faible, et je suis pas beaucoup plus fort, on y arrivera pas seul.
Denkou : Lui décoche une grosse droite dans les dents, je suis pas faible ... Mais t'as raison, à deux on aura du mal.

Je décidai de monter à l'étage, histoire de voir les mages puissants de la guilde. En haut, il y avait trois mages, pas les plus sympas mais les plus forts, on avait de la chance, avec eux il faudrait pas deux minutes pour les étaler, ces bandits.

Denkou : Il faut nous aider, la ville est attaqués par des bandits !!
Ventus (toujours pas sûr): en baillant, et alors, qu'es ce que ça peux nous faire ?
Denkou : Mais vous êtes des mages de Fairy Tail, vous devez défendre la ville !!
Ventus : Tu vois pas qu'on est en pleine partie de cartes ? Débrouille toi tout seul, si tu fais partie de la "prestigieuse Fairy Tail", tu dois pas être trop faible, non ?

Il y a pas à dire, ils sont pas sympa ces mages, moi quand je serai plus puissant, j'aiderai les nouveaux. Je chercha dans le reste de la guilde si il y avait du monde, mais même le chef de la guide était parti, voir un vieil ami à ce qu'il parait. Nous n'étions que cinq, dont trois qui ne voulaient pas bouger de devant leurs jeu de cartes ... Je revins voir Demax, histoire de lui faire part de la nouvelle.

Demax : Quoi ? On est tout seul contre tout ces bandits ?!?
Denkou : Oui ... Bon il faut se dépêcher, ils vont pas tarder à rentrer dans la ville...
Demax : C'est quoi toi déjà ton pouvoir ? Si je me souviens bien, toi tu t'appel Denkou non ?
Denkou : Oui c'est ça, je contrôle l'électricité, et toi ?
Demax : Moi c'est Demyx, je contrôle l'eau.
Oups, je m'étais planté dans son nom, mais j'étais pas loin quand même.
Denkou : Se sentant un peu honteux, ah ? Bon bin faut y aller.

Nous voilà donc partis pour la frontière nord de la ville, à deux ... Nous ne croisèrent personne, à par un petit chat trop mignon, il était blanc avec des petites tâche noir, il me donna envie de le caresser. Mais qu'es ce que je racontais, j'avais pas le temps pour ça, la ville avait besoin de moi. Je mis donc mes envies de côté pour me concentrer sur le sauvetage de la ville, je pourrais toujours retrouver ce chat une fois cela fini.

Une fois à la frontière de la ville (Demyx savait se repérer, pratique), nous vîmes aux loin, à environ cinquante mètres, une vingtaine de gugusse armés de sabres, de lances et pistolets.

Denkou : Les yeux écarquillés à la vue de tout les adversaires, TOUT CA !! MAIS ON VA MOURIR !!
Demyx : Ca va, on est deux, oublie pas. Et ils ont pas l'air si bon que ça. Sur un ton ironique, t'es pas faible, non ?
Denkou : Honteux, Ha ha, très drôle, t'a fini de te foutre de moi ? C'est bon, on peux y aller ?
Demyx : Sourire aux lèvres, c'est parti, on fais un jeu ? Celui qui en bat le plus à gagné ?
Denkou : Souriant à son tour, d'accord, mais pas de triche ok, on vole pas les adversaires de l'autre. En tout cas c'est cool de savoir que t'aime te battre, je croyais que t'étais un intello pas marrant.
Demyx : Exaspéré, c'est pas parce que je suis plus intelligent que toi que je suis un intello ...
Denkou : Lui collant encore une fois une droite, t'insinue que je suis un idiot ?
Demyx : Se tenant la mâchoire, c'est bien ça, une grosse brute sans cervelle.
Denkou : Commencent à ce rapprocher pour en découdre avec celui qui l'insultais, tout en frappant dans son poing, on va voir si je suis une grosse brute sans cervelle.

Je lui envoya un superbe coup de poing qui fût arrêter par une sorte d'armure d'eau dont il s'était entourer, c'est pas juste, on utilise pas son pouvoir pour se bagarrer entre amis, ou alors moi aussi je m'y met. J'envoya une bonne quantité d'électricité dans son armure, ce qui l'électrocuta.

Demyx : Après avoir hurlé de douleur et enlevé son armure, MAIS T'ES UN MALADE, J'AURAI PÛT MOURIR !!
Denkou : C'est toi qui à commencé, t'avais qu'a pas utiliser ton pouvoir.
Demyx : Mais moi je t'ai pas attaqué, je me suis défendu.
Denkou : Trouvant ça logique, ouais, t'a pas tors.

Les bandits, quand à eux, étaient déjà arrivé depuis un petit moment et nous écoutaient nous battre, incrédules.

Un des bandits (surement le chef) : Eh oh, et nous alors, on est là pour piller la ville, alors nous empêché pas de passer, si vous voulez survivre.
Denkou : Le remarquant enfin, ho ça va, te mêle pas de ça, j'ai quelque chose à régler avant de m'occuper de toi.
Le bandits : Incrédule, de t'occuper de moi ? T'a vu qu'on est vingt-trois hommes armés et que vous êtes que deux à mains nue ?
Denkou : Se tournant vers le bandit, avec l'air concentré, vous êtes vingt-trois ? Un, deux, trois, ... , en pointant du doigt un par un les bandits. A oui, vous êtes vingt-trois.
Demyx : Se demandant comment je pouvais être aussi idiot, mais qu'es ce que je fais là ...
Denkou : Se frappant le front avec la paume de sa main, mais oui, le pari, j'avais oublié. Mais si il y en a vingt-trois, comment on va faire pour se les partager ? A moins d'en couper un en deux.
Demyx : Mais c'est simple, on s'en fais onze chacun et le premier qui à fini, se fais le dernier.
Denkou : En content sur ses doigts, vingt-deux, vingt-trois, ok, on fais comme ça.
Le bandit : Commencent à flipper, mais vous êtes des malades, nous on est armées et on est des mages très puissant aussi.
Denkou : Des mages ?
Demyx : C'est quoi vos pouvoirs ?
Le bandit : Se demandant comment ça se faisais qu'ils avaient pas peur, des pouvoirs très puissants !!
Denkou : Moi je peux faire de l'électricité et mon copain contrôle l'eau.
Demyx : Criant sur Denkou, mais t'es un idiot ma parole, on donne pas son pouvoir comme ça, ça aurais pût donner un effet de surprise !!
Denkou : Ah ?
Le bandit : Le visage blanc, à voix basse, la foudre et l'eau ? On est mal ...
Denkou : N'ayant pas entendu le bandit, si vous êtes forts, on va devoir y aller à fond, ça va être cool.
Demyx : Bon moi j'y vais gros crétin, je t'appel quand j'ai fini ma part.
Denkou : Gros crétin ? Mais tu parle à qui ?
Demyx : avec une envie de meurtre, mais je vais te tuer, tu me saoule espèce de cancre.
Denkou : Mais j'étais pas un cancre à l'école, j'étais troisième.
Demyx : J'imagine bien le niveau de ta classe...
Denkou : Bon moi j'y vais, a toute.
Demyx : J'aurai fini en premier, c'est moi qui vais gagner.

Nous nous tournâmes en direction des bandits, une lueur complètement différente dans les yeux, on était passé en mode sérieux. Les bandits reculèrent d'un pas, suivi d'un deuxième. Ils ne purent pas en faire plus, vu que nous les attaquions.

Bien que paraissant très puissants, le chef des bandits se dit que ses adversaires n'étaient pas si fort, à peine plus qu'eux, et ils n'étaient que deux contre vingt-trois, ils n'avaient aucune chance.

Aux final, on peux dire qu'il sont pas mauvais ces bandits, même à un contre onze, on arrivait pas à gagner, c'est vrai que c'étaient de puissant mages. Il faut dire que leurs pouvoir bizarres étaient pas mal non plus, qu'es ce que tu veux que je fasse contre quelqu'un qui peux devenir une sorte de pâte visqueuse qui colle ? Et en plus ça craint pas l'électricité ce truc. Et ça c'est qu'un des onze mages que je combattait (le chef attaquait pas, il était sympa d'attendre son tour), ils avaient du monter un club des pires pouvoirs possible ma parole.

Je vis que Demix en bavait autant que moi, au moins c'est déjà ça. Mais je vis qu'il était quand même intelligent, il arriva à en avoir un avec une ruse fourbe, vous savez, celle ou tu dis "attention, derrière toi y a un dragon", moi personnellement j'aurai marché aussi ... Je me précipita sur un qui se tenais en retrait par rapport aux autres et l'envoya au tapis grâce à un étranglement, comme ça, je rétablie la balance.

Mais après cinq minutes à me prendre plein de boite (des boites de chaussure, oui oui, quand je vous disais pouvoirs bizarres ...), je me senti faiblir, est ce que j'allai perdre ce combat ? Quand je vis que Demix, qui en bavait aussi (je ris intérieurement en voyant ça), qui arriva pour me proposer de collaborer.

Denkou : Surpris, et le pari ?
Demyx : Il y a plus de pari qui tienne, on est entrain de se faire battre.
Denkou : Bon d'accord, mais dans ce cas, j'ai gagné.
Demyx : Dépêche toi de m'aider !!

Nous voilà donc partis pour affronter deux fois plus d'adversaires, mais en coopérants. Il s'occupait de les mouiller, et moi de les "réchauffer" avec mon électricité. Et bien, quand on était tout les deux, ils faisaient plus le poids. Une fois, il envoya un gros canon d'eau en ligne droite, avec une puissance de fou, trop la classe, il faudra absolument que je me trouve une attaque de se style. Rien qu'avec cette attaque, il dégomma quatre bandits d'un coup, et vu que j'avais électrifié son attaque, les deux autres qui furent touché on morfler aussi.

Plus que 16, y a pas à dire, à deux on envoyait du pâté. Et les bandits continuaient de plus belle à tomber comme des mouches, trop facile. Alors que tous étaient tombé à part leurs chef, il activa son pouvoir et une chose incroyable se passa, voilà que tous les bandits se relevèrent comme si ils venaient de se réveiller d'une bonne et reposante nuit de sommeil. Le chef des bandits possédait un sacré pouvoir ma parole.

Mais voilà, comme tout chef des méchants qui se respect, il partit dans un monologue pour parler de son magnifique pouvoir qui enlève la fatigue et tous le tsoin tsoin. Je m'élança donc sur lui et lui colla une superbe droite, à m'en faire mal à la main. Ils sont quand même sacrément idiots, ces bandits.

Et nous revoilà partit pour affronter les vingt-deux gugusses qui étaient de nouveau debout ... Et voilà que nous recombattions leurs pouvoirs bizarres, tout en se fatiguant en même temps. Mais bon, ils étaient pas plus fort quand même, donc ils tombaient quand même de la même manière, comme des mouches.

Mais, alors qu'il n'en restait plus que quatre, le pouvoir de Demyx s'arrêta, il n'avait plus de puissance, il était crevé. Alors que moi j'avais encore pas mal de magie (dans les dent Demyx), il s'écroula au sol, et piqua un roupillons, c'était bien le moment...

Soudain je vis qu'un des bandits envoya un couteau en direction de Demyx, avec la ferme intention de le tuer alors qu'il était sans défense. Y a pas à dire, les bandits, c'est vraiment des voyoux pas honnête. J'activa mon pouvoir, mais comme j'étais à huit mètre du couteau, je ne pouvais pas le repousser, j'attira donc le couteau sur moi, le prenant dans le torse.

Je m'écroula par terre, en sacré mauvais état, le couteau avait dût me transpercer un poumon, je souffrais comme quelqu'un qu'on aurai torturé. Mais je ne pouvais pas laisser mon coéquipier se faire tuer, je me releva donc en crachant du sang. Punaise, que ça faisait mal, je tituba vers les bandits qui restaient, sans sortir le couteau encore planté dans mon torse. Je pris mes billes, et les envoya dans le visage de chacun en même temps, ce qui les sécha d'un coup, ils s'écroulèrent par terre, suivi de moi immédiatement.

Lorsque je me réveilla, j'étais dans une maison que je ne connaissais pas. Après avoir regardé autour de moi, je vis que j'étais dans un lit, dans une maison de Magnolia, et que j'avais maintenant un bandage à la place du couteau.

Une femme entra dans la pièce et parût surprise de me voir réveillé. Elle me dit qu'elle m'avait trouvé dans les bois et qu'elle m'avait secouru ainsi que mon collègue, elle avait vue nos tatouage. Je lui demanda ce qu'elle avait fais avec les autres hommes qui étaient là, elle me répondit que lorsqu'ils se réveilleraient, ils auraient la tête en bas, et les pieds attaché à une branche, elle était très souriante. Je lui demanda combien de temps j'avais dormi, et elle me répondit que depuis qu'elle m'avait rencontré, il s'était passé six heures, elle était d'ailleurs très surprise de me voir déjà réveillé.

Je lui dis merci et partit donc faire mon rapport à la guilde. Sur le chemin, cette fois, il y avait du monde, je chercha le petit chat que j'avais rencontré à l'allé, mais ne le vis pas, dommage ...
Une fois à la guilde, je remarqua que certaine personnes étaient là, sans doute que leurs missions étaient fini. Même le maitre était la, j'en profita pour lui faire mon rapport complet et détaillé, en sautant mon égarement avec le chat.

Ce soir là, nous avons entendu le maitre crier pour la première fois, après Ventus, qui avait été inconscient d'envoyer des bleus pour défendre la ville. A mon avis, il n'aurait plus de mission pendant longtemps celui là. Et en plus, toute là guilde entendis le "pour te faire pardonner, tu vas aider Denkou et Demyx en leur faisant un entrainement spécial, pour qu'ils progressent encore plus, ce sont des héros comparé à toi". A vrai dire, ce ne fut pas la meilleure nouvelle de la journée ...

Je croisa Demyx dans la salle principale, et lui colla une droite (encore)

Denkou : Alors comme ça je ne suis qu'une grosse brute sans cervelle ?
Demyx : Et oui, il faudra t'y faire, c'est incurable.

Et voilà qu'une baston général dont nous étions le point de départ commença...

FIN