Fairy Tail, me voilà

Ten'nouheika Denkou

« Attention j'arrive, préparez vous à souffrir »

En me levant, j'ai vu que j'avais reçu un message de Fairy Tail :

Bonjour Denkou Ten'nouheika, après délibération, les membres de Fairy Tail ont jugé que vous étiez accepté au sain de notre grande famille. Si vous pouviez venir pour régler les dernières formalités.

Cordialement, Atsuro Yasuo, maître de Fairy Tail

Il me fallut moins de 5 minutes pour me préparer. On peut dire que la journée commençait bien, non seulement j'avais bien dormi, mais en plus j'avais reçu la meilleur nouvelle de ma vie. Hélas, en étant arrivé la veille, je n'avais pas réussi à repérer le chemin pour aller à la guilde, je me perdis donc et me retrouvai aux frontières de la ville. Ne trouvant personne aux alentours (ça doit pas être la sortie principale), il me vint donc à l'esprit de faire comme dans les films, escalader une maison pour me repérer par rapport à la guilde. Je me rendis vite compte que c'était plus difficile que prévu, et à 2 mètres du sol, je ne pouvais plus monter. Je descendis donc et chercha un autre moyen. Après intense réflexion (quand on a pas l'habitude, c'est pas facile), je me dis que je devrais trouver quelqu'un qui pourrai m'aider à trouver la guilde.

Je partis donc au hasard dans la grande ville de Magnolia à la recherche d'âmes qui vivent. Il ne me fallut pas très longtemps pour trouver quelqu'un, nous étions dans une petite ruelle, et la personne devant moi ne m'avais pas vu, vu que j'étais dans son dos. Alors que je m'approchais, je vis que la personne se retourna avec un couteau à la main, dans l'intention de s'en servir. Pourquoi donc m'en voulait-elle ? Je ne lui avais rien fait. Sans demander d'explication, j'activai mon pouvoir et effectuai Jishaku pour repousser la lame. Le bandit ne compris pas ce qu'il se passait, mais ne put pas se poser la question bien longtemps car dans le feu de l'action, je ne pus m’empêcher de lui mettre une droite dans le visage accompagnée de quelques centaines de volts, tant pis pour l'info ...

Quelqu'un d'autre arriva vers moi par derrière, je me retournai avec l'intention de me défendre, pensant que la journée n'était pas si bonne que ça, mais lorsque je vis que c'était un vieux et gros monsieur, je compris que ce n'était pas un "ennemi".

Il me dit que je l'avais débarrassé d'un petit voyou qui posait des problèmes à son commerce depuis quelques temps et me demanda ce que je faisais ici.

Je lui exposa mon problème auquel il parut intéressé. Une fois que j'eu fini de lui raconter ma matinée, il me dit que c'était très facile de rejoindre la guilde de Fairy Tail d'ici, il me proposa également un marché qui serait bénéfique pour les deux parties, il avait souvent des problèmes avec des petits vandales à son hôtel, il me proposa donc de l'aider à faire partir ces voyous quand il y en avait et en contrepartie, j'aurai une chambre dans son hôtel qui me coûterait la moitié du prix des locations sur Magnolia.

J'acceptai immédiatement, quelle chance j'avais quand même. J'arrivai donc à Fairy Tail en suivant les instructions du patron de l'hôtel, il avait raison, c'est rapide comme chemin.

Lorsque je rentrai dans la grande guilde, une table en bois énorme me frôla la tête, elle devait faire dans les cent kilos, si je me l'étais prise, je serais mort sur le coup. Une seule chose me vint à l'esprit, quelle guilde de malade !! Après avoir regardé autour de moi, je vis qu'il y avait une sorte de bagarre générale, avec épées, feu, glace, démons, tigre, etc. Quand ils se battent, ils n'y vont pas de mains mortes dit donc !

Quelqu'un arriva comme si de rien était (ça doit être courant ce genre de bagarre) et me dit de le suivre. Il m'emmena dans une pièce à côté et me demanda ou je voulais mon tatouage, à peine eu-je le temps de dire sur l'épaule que le tatouage y était, ce fut rapide, il me demanda donc quelques autres trucs et je sortis. Dans la salle principale, la bagarre était terminée, on aurait dit qu'un ouragan était passé par ici, il y avais des personnes qui étaient au sol, inertes, et les secours arrivaient, exaspérés. Encore une fois, je ne put me dire autre chose que "quel guilde de fou" tout en faisant apparaître un énorme sourire sur mon visage.

Jishaku: